Macif met en place un Comité Jeunes

Engagée dans son plan de transformation Macifutur, la mutuelle d’assurance formalise l’implication des jeunes - issus de ses rangs - au sein de ses instances de décision.

Certaines entreprises prévoient un siège pour un client, Macif préfère inviter les jeunes à participer à ses instances de décision. L’idée reste la même : enrichir les réflexions d'un groupe par des idées fraîches et neuves. C’est ainsi qu’un « Comité jeunes », composé de 20 membres salariés, âgés de moins de 35 anset issus de différents pôles (métiers, supports, distribution…), sera désormais consulté, quelques jours avant le Comité de direction groupe, sur les dossiers transverses qui agitent Macif. Objectif : identifier de nouveaux axes de travail relatifs à la conduite des projets de transformation.
 

Jeunes Salariés et ambassadeurs du changement


Car le troisième assureur auto a démarré, cette année, son plan stratégique Macifutur au terme duquel - en 2020 – il vise à redevenir la mutuelle de tous, avec les meilleures solutions au meilleur prix en assurance dommages, santé-prévoyance et finance-épargne. Une ambition significative qui passera par des chantiers d’innovation et digitaux sur lesquels un regard jeune peut s’avérer utile, notamment sur le volet des nouveaux modes de consommation.

Et il y a un peu urgence car après avoir restauré ses fondamentaux techniques en 2015, Macif n’a pas enregistré de bons résultats au premier semestre 2016. Or, le cap, lui, doit être tenu. « Nous allons tirer le meilleur de cette synergie intergénérationnelle entre collaborateurs de métiers différents pour relever les défis du plan stratégique », explique Jean-Marc Raby qui veut insuffler, plus globalement, une nouvelle dynamique managériale. Avec Philippe Ricard, le secrétaire général, il accompagnera personnellement ces 20 nouveaux membres lors des quatre runions annuelles prévues.Au menu : prise de position sur les dossiers instruits, soumission de nouveaux projets et mise en œuvre. Ces « ambassadeurs du changement » s’engagent sur un mandat de deux ans.

L'Argus de l'assurance le 20/10/16

 



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